Musée d’art moderne et contemporain de St Étienne : les expositions

st etienne 4

Pierre Seinturier

I want to believe

Du 29 novembre 2015 au 21 février 2016
Lauréat du 6e Prix des Partenaires, Pierre Seinturier réalise de grands dessins au pastel parcourus par quelques personnages mystérieux qui vagabondent dans des décors au caractère cinématographique. Bien que chaque dessin soit autonome, une narration se crée et esquisse, d’une œuvre à l’autre, le contour d’une histoire à écrire par le spectateur.

Pierre Seinturier nous invite dans un univers sombre inspiré de scènes de polars, où le romantisme et l’humour ont néanmoins leur place.

 

st etienne 1

 

Jacques Villeglé

Mémoires

Du 05 mars 2016 au 22 mai 2016
Au printemps 2016, le Musée accueillera Jacques Villeglé, figure majeure du courant des Nouveaux Réalistes, pour une exposition exceptionnelle et unique, consacrée à un tout nouveau projet de l’artiste, créé spécialement pour l’occasion

villeglé

Intrigantes incertitudes

du 05 mars au 5 juin 2016

L’exposition « Intrigantes Incertitudes », à la fois intime et universelle, invite à explorer les mondes du dessin contemporain.

Dans la continuité des expositions collectives thématiques de ces dernières années, « Intrigantes Incertitudes » sonde la question du doute et de l’incertain. Le visiteur parcourt les « royaumes intérieurs » des artistes, peuplés de questions, de fantômes et de rêves, en empruntant le chemin le plus intime et le plus spontané des moyens d’expression artistique : le dessin.

L’exposition interroge l’héritage culturel de nos sociétés, du Moyen-Âge au symbolisme, du maniérisme au romantisme, du baroque au surréalisme. Elle regroupe les œuvres d’artistes majeurs d’Europe, d’Afrique, d’Amérique du Nord et du Sud. On découvre les dessins et œuvres de Günter Brus, Dennis Oppenheim, Jan Fabre et Jim Dine. Ces grandes figures de l’art contemporain côtoient de plus jeunes artistes d’horizons divers comme Pierre Seinturier, Lee Bul, Sandra Vasquez de la Horra et Jana Gunstheimer.

L’ »incertitude », moteur angoissant, réactif et provocateur, occupe une place centrale dans la création artistique et sa dimension poétique. Cette exposition passionnante interroge la place du mystère et de l’étrange, tout en ouvrant sur le rapport des artistes à la modernité.

Commissariat : Lóránd Hegyi, directeur du Musée.

 

st etienne

Documents, source  centre d’art moderne et contemporain de Saint Étienne métropole

 

www.mam-st-etienne.fr/

Exposition CENT PAPIERS au musée Géo Charles à Échirolles (38)

Focus sur une artiste et son œuvre  dans cette exposition

Monique Deyres (adhérente aux Amis du Magasin)
Son œuvre exposée relève d’une recherche, de l’expérimentation… et de son talent d’une grande sensibilité
C’est un travail sur la mémoire. Une maison de naissance, un arbre, magnifique cèdre, qui un jour meurt. Un arbre condamné et la tronçonneuse découpe les tranches de vie enregistrée dans la souvenance des croissances de son tronc. Chaque année un enregistrement. Et l’artiste veut s’y réapproprier sa part de vie pour l’exprimer sous une forme transmissible et partager avec les autres.
Du papier, des colorants naturels venant du jardin, à proximité, et avec un travail de prise d’empreintes, Monique a fait parler la mémoire des sillons de l’arbre. Les vieux enregistrements jusqu’aux plus récents sont, aujourd’hui, devant vous dans l’exposition. A vous de dialoguer avec cette mémoire. L’arbre a fait sa part, l’artiste tout le reste.
Une œuvre remplie de la nostalgie de l’enfance et d’un lieu qui est redevenu aujourd’hui son lieu de travail et de création.

deyresseul

Monique Deyres devant son œuvre (crédit photo  MD, amis du magasin)

 

deyrespetit1

Déjà un arbre pousse pour la petite fille et accumule une mémoire…
Crédit Photo MD- Amis du Magasin

Exposition du 29 janvier au 24 avril 2016

Rencontre avec les artistes : le dimanche 3 avril 2016 à 16h00

 

Musée Géo-Charles
1, rue Géo-Charles
Tél. 04 76 22 58 63
Fax : 04 76 09 78 55
musee-geo-charles@ville-echirolles.fr

 

Maude Maris au Vog à Fontaine (38) : Votive, du 11 février – 19 mars 2016

Du mercredi au samedi entre 14h et 19h.

L’œuvre de Maude Maris montre une cohérence dans son évolution depuis sa sortie du DNSEP en 2003 et de son post-diplôme à la Kunstakademie de Düssefdorf en 2010. Intéressée par l’architecture qui est la genèse de sa pratique picturale, elle met en scène un protocole de travail. Elle réalise des objets en petits formats. Après avoir fait des moulages de plâtre, elle les met en scène, puis elle les photographie pour qu’ils servent de modèle à sa peinture, qui est très chirurgicale, sans repentir et il n’y a pas d’empâtements dans sa manière de peindre. L’image est toujours subtilement décentrée comme si elle voulait éviter que sa peinture ne soit trop frontale.
Au VOG, elle montre également des volumes, jouant ainsi sur le rapport étroit entre les sculptures et les peintures accrochées aux murs. Le travail de Maude Maris est atypique, voire innovant de par le procédé qui consiste à fabriquer de A à Z le sujet de sa peinture.

 

vog
– See more at: http://levog-fontaine.eu/maude-maris/#sthash.vhwrXqMu.dpuf

 

vog1vog2

Visite des adhérents au Musée Hébert de l’exposition Vincent Gontier, l’artiste nous accompagne

Vincent Gontier expose”Jours de soleil”au Musée Hébert de la Tronche, en proposant une nouvelle facette de son travail, entre acier et papier journal.
Laurence Huault-Nesme, la directrice du musée, nous invite à visiter l’exposition en présence de l’artiste le mardi 16 février de 16h30 à 18h00.
Deux salles sont consacrées aux Compactus, Croquis-sculptures (photo) et “Dessins brûlés”(photo), dessins inédits résultant des recherches récentes de l’artiste.
La série des barques dressées dans le parc s’inspire des waka, pirogues traditionnelles des Maoris de Nouvelle Zélande.
Cette visite est réservée aux adhérents des amis du Magasin. Adhésion possible sur place.
gontier

gontier2Vincent Gontier a fait des journaux, imprimés éphémères qui accompagnent notre quotidien, sa marque de fabrique. Depuis presque trente ans, le sculpteur les assemble, pliant et dépliant, mettant en volume les oppositions : fragilité-solidité, souplesse-rigidité, papier et acier. Il contraint ou libère ces matériaux, les façonne dans une dimension tant esthétique que poétique. Les « Compactus », qui associent liasses de journaux et acier, avec les « Croquis sculptures », qui sont leurs versions réduites, puis les « Synapses » et les « Origami », où la seule feuille de papier est finement rouleautée ou pliée, témoignent de son intérêt quasi obsessionnel pour les imprimés. La série des barques, issue d’un voyage en Nouvelle Zélande, associe acier et verbe alors que les récents « Dessins brûlés » redonnent toute leur place aux signes et à l’image.(source Musée Hébert)

Du 4 décembre 2015 au 4 avril 2016

http://www.musee-hebert.fr/