Visite de l’atelier de Jean-Pierre Angei

Samedi 20 janvier Jean-Pierre Angei nous a ouvert les portes de son appartement-atelier.
Nous étions une dizaine, à découvrir ses œuvres pour les uns, à revoir une série de photos pour les autres.
Le photographe parle avec beaucoup de finesse, de délicatesse de son travail.
Il précise à plusieurs reprises que des photos murissent parfois dans sa tête plusieurs années pour devenir séries, éléments d’exposition.

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Avec générosité il nous a montré toute une série de photographies qui ont fait l’objet d’expositions et qui demeurent en attente d’un projet, d’une édition… Pendant les deux heures de visites, certaines photos, imprimées sur papier ultrafin ont sensiblement changé de par l’éclairage.
Une montagne, une main, ont ainsi révélé leurs complexités, leur splendeur.
Pour ce qui me concerne, la série « altérité » m’a beaucoup intéressé et troublé.

Tiré de son site, cette présentation de ces photos :
« Dans son atelier Catherine trace, coupe, assemble, épingle, pique, surpique, drape, retouche cette matrice faite de Tweed, mohair, lin, drap de laine natté serré, taffetas, crêpe de soie et bien d’autre jacquard pour donner vie à un ensemble de pièce unique. Je n’ai pas cherché à photographier un produit mais à mettre en évidence un caractère, une singularité propre à chaque vêtement. Quand je photographie une personne j’essaie de capturer un instant d’abandon, de fragilité car je pense que c’est dans cette fragilité que ce trouve un lien humain universel. Pour ces portraits de vêtements, j’ai donc cherché à supprimer une fonctionnalité. Dans mon studio je les regarde suspendus devant leur propre matière et là un dialogue silencieux, cérémonieux fait de gestes s’installe, j’arrange un col, une manche, un volume par ci, un creux par là, je plie, je caresse, je lisse, je scrute, il tourne sur lui même, je photographie, je cherche là aussi ce moment juste, ou il se donne dans sa fragilité. Ce travail n’est pas un sujet sur la mode mais il fait écho à ma recherche sur notre propre image il questionne notre rapport au monde, ces vêtements photographiés devant leur propre matrice est un renvoie à notre peau et à la relation entre soi et l’autre.»

En avril dernier Jean-Pierre Angei exposait à Bordeaux.
Le texte de présentation de l’exposition résonne avec les paroles que nous a prononcées l’artiste (mots soulignés par nous) :
« Jean-Pierre Angei œuvre depuis des années à mettre en valeur l’humain dans ce qu’il a de plus épuré, entre l’être et le paraître, il s’attache plus à l’être dans ses portraits. En écho il photographie des histoires de lieux et de paysages habités, façonnés par l’homme et comme lui, traversés par le temps. Il parle d’une terre du bout du monde. Ce n’est juste qu’un petit bout mais qui reflète assez bien à une échelle de temps différent, un cycle de vie.

 Avec émotion nous avons revu des œuvres présentées ailleurs comme les fleurs au château de la Veyrie à Bernin (2023) ou de magnifiques portraits.

La richesse de cette visite nous a donné envie de voir rapidement une nouvelle exposition de l’artiste (qui sera accueilli au VOG, à Fontaine en 2025) et de poursuivre les riches visites d’ateliers d’artistes.

Édouard Schoene

Photos : Édouard Schoene, Raoul Lemercier

Visite de l’atelier de Jean-Pierre Angei

L’association les « Amis du Magasin » invite ses adhérents à une nouvelle visite d’atelier d’artiste.

Rencontre avec Jean-Pierre Angei, photographe
Samedi 20 janvier à 14 h à Grenoble

S’inscrire auprès de François Mondot qui vous précisera le rendez vous,
(de présence par courriel à contact@amisdumagasin.com, ou au 06 31 09 53 72)

Jean-Pierre Angei était présenté dans le projet Paysage Paysage  :
https://paysage-paysages.fr/artiste/angei-jean-pierre
Son portfolio  : https://www.jeanpierre-angei.com/

Jean Pierre Angei est un photographe franco-italien, né à Marseille en 1968. Il vit et travaille à Grenoble. Sa photographie s’inscrit dans une démarche documentaire à la frontière du courant humaniste. Il répond aussi bien à des commandes, institutionnelles, ou d’entreprises. Ses projets photographiques ont fait l’objet de plusieurs expositions dont celle aux rencontres internationales de photographie d’Arles en 2009 et Le BAL à Paris en 2011.

« Mon travail personnel interroge les lieux et les gens. Comment un lieu évolue dans le temps, comment se décline-t-il . Sa relation aux gens, qui est faite par qui. Un lieu se fait à travers nous et nous à travers lui. Je recherche l’abandon qui est pour moi un mouvement, il est ce moment de recueil, de réflexion sans ambages, il est là et ailleurs. Dans mes paysages se dégage une empathie : parfois, je les regarde des années pour un jour les redécouvrir et les photographier sur plusieurs mois, pour voir leur changement et proposer le mien. Lors d’une commande de portraits de maraîchers de l’Estacade, je me suis retrouvé comme face à mes paysages, je les connaissais pour y faire mon marché, mais il m’a fallu trois mois pour les reconnaître et être aussi reconnu… Mes photographies sont aussi ces lieux que l’on trouve sans intérêt, où le rien domine, mais on est là et de ce rien, on peut toujours trouver et en sortir une satisfaction. »

Rencontre avec Monique Deyres

Les Amis du Magasin vous invitent à une rencontre le samedi 2 mars 2024 à Voiron dans l’atelier de Monique Deyres.
L’artiste nous présentera son livre qui paraitra dans quelques semaines :
Monique Deyres / Autour du jardin / transformations silencieuses

Cet ouvrage est né de la complicité de l’artiste, Monique Deyres et de Philippe Bidaine, historien d’art.

Née en Languedoc, Monique Deyres vit et travaille entre Voiron en Isère, et Toulouse en Haute-garonne. Après des études d’histoire à l’université du Mirail à Toulouse et deux ans d’enseignement d’histoire-géographie au lycée français de Mexico de 1974 à 1976, elle entreprend une formation de formateurs à l’école supérieure d’art de Grenoble de 1983 à 1986.
Elle devient membre fondateur l’association Traces – Écarts pour la promotion des arts plastiques et de l’art contemporain.

De 1991 à 1994 elle enseigne les arts plastiques au lycée français français de Budapest en Hongrie et à partir de 1995 elle se consacre pleinement à son travail de plasticienne. Elle séjourne à Stockholm en Suède entre 2000 et 2001 ainsi qu’à Barcelone en Espagne entre 2008 et 2009. En 2014 elle revient habiter sa maison natale près de Toulouse.
https://www.monique-deyres.fr/

Philippe Bidaine, sociologue de formation, après quelques années d’activités journalistiques, rejoint en 1972 l’équipe de préfiguration du centre Beaubourg (futur centre Pompidou) en tant que responsable des relations publiques auprès du président Robert Bordas. Dès l’ouverture du Centre en 1977, et jusqu’en 1981, il en assure la direction des services de communication.
En 1981, il est nommé directeur des Éditions du centre Pompidou, structure qu’il conduira jusque’ son départ de l’institution en 2005.
Parallèlement il sera professeur invité de plusieurs universités en France et à l’étranger, et professeur titulaire à l’université de Cergy-Pontoise. Observateur de la création artistique contemporaine, on lui doit plusieurs essais et ouvrages, regard attentif et prospectif sur l’art en train de se faire.

Nombre de places limité, inscriptions auprès d’Édouard Schoene
edouard@schoene.fr

Première rencontre apéritive des amis du Magasin

Les Amis du Magasin inauguraient le 25 novembre au Magasin leur première « rencontre apéritive des amis du Magasin ». L’objectif de ces rencontres est d’inviter à débattre autour d’une personnalité, d’un sujet.

Ce rendez vous s’est organisé autour d’Hubert Gaillardot, ami du Magasin qui nous contait il y a quelques mois :
« En fouillant dans mes archives j’ai découvert un document que j’avais réalisé pour la Municipalité de Grenoble de l’époque, et dont le titre était : UN GRAND PROJET A VOCATION NATIONALE ET INTERNATIONALE A GRENOBLE POUR LES ARTS PLASTIQUES ET LA CRÉATION CONTEMPORAINE » 

Devant une vingtaine de participants, le récit de cet événement a été présenté par l’un des acteurs de cette rencontre de janvier 1983 avec en introduction quelques rappels historiques d’Agnès Bourdais, liés aux années 80 et à l’avènement d’une politique culturelle forte (culture : 1 % du budget de l’Etat).

Urbaniste, je travaillais à l’agence d’urbanisme de Grenoble, sur le POS (plan d’occupation des sols) et sur l’aménagement de la caserne.
Au début de l’année 1983 se profile une rencontre ville de Grenoble-Ministère de la Culture dont l’objet est d’examiner le devenir du musée de peinture et la perspective d’un centre d’art contemporain. 


Hubert Gaillardot nous montre le document qui a été produit pour cette réunion. Il précise :

Il ne reste à ma connaissance aucune trace de ce document, qui n’a pas été archivé.
Cette réunion a été programmée dans un délai très court ce qui fait que nous avions quinze jours pour imaginer à quelques un des emplacements possibles pour un futur musée de peinture avec des idées de volumes de bâtiments pour 30 000 m² de plancher. 
Depuis longtemps la ville de Grenoble voulait un nouveau musée. En 1971 fût envisagé un projet de nouveau musée sur la plateforme sommitale de la Bastille, projet très vite enterré vus les coûts énormes.

Jusque dans les années 60 le musée de Grenoble avait la plus belle collection d’art moderne de France, le premier musée de France à avoir acquis un Picasso (en 1921).

Dans cette réunion tenue il y a quarante ans, deux positions différentes s’affrontaient. 

Le ministre Jack Lang cherchait quelque chose d’emblématique en province, le fameux CNAC (centre National d’Art Contemporain). L’équipe municipale de Grenoble (Hubert Dubedout maire) défendait l’idée d’un lieu unique pour un espace regroupant un nouveau musée et un CNAC avec un seul directeur, un service d’accueil,… Il fut même imaginé de maintenir le musée place de Verdun et d’implanter le CNAC sur l’espace du Ministère des Armées à proximité.

MM. Rizzardo, adjoint à la culture et Pierre Gaudibert, directeur du musée étaient prêts à donner la collection du musée à l’Etat si le financement du nouveau complexe musée-CNAC était financé par État au niveau de 80%. La réponse du ministère a été nette : un musée national ne peut être qu’à Paris. Pourtant le prix du m² à Paris était dix fois celui de Grenoble.
Aucune décision claire n’est sortie de la réunion 
.
Quelques mois plus tard les élections municipales du printemps ont marqué la fin de l’équipe municipale de gauche, battue par la liste conduite par M. Alain Carignon.

L’échange qui a suivi a permis d’évoquer la création du Magasin, son ouverture en 1986, quelques personnalités qu’a bien connu Hubert Gaillardot dont Jean Verlhac, adjoint à l’urbanisme et Pierre Gaudibert, sociologue de l’art, directeur du musée.

La rencontre s’est terminée autour d’un buffet alimenté par les participants

Exposition Julien Creuzet


Oh téléphone, oracle noir
toutes les personnes écrans miroirs
filent les images tactiles oh vas-y voir les nuages du soir

téléphone maison 
téléphone maison

dans l’immensité, dans la voix lactée 
toute la 3G de la cité
dans tous les flux on s’est croisé 

oh mon amour oh mon crash test 
oh mon amour
oh à toute vitesse un sms
oh à toute vitesse un sms

Exposition personnelle de Julien Creuzet accompagné de Phoebe Collings-James, Christina Kimeze,
Manuel Mathieu, Bruno Peinado et Chloé Quenum

Commissariat : Céline Kopp et Cindy Sissokho 
Exposition du 17 novembre 2023 au 26 mai 2024
En partenariat avec la Fondation d’entreprise Pernod Ricard et avec le soutien de l’Institut français.


Ailleurs est ce rêve proche, de murmures d’eaux confiantes (…)
Exposition collective
avec Thomas Besset, Sofía Bonilla Otoya et Nina Jayasuriya
Commissariat : Alexia Pierre
Exposition du 17 novembre 2023 au 25 février 2024


Vernissages le jeudi 16 novembre 2023 à partir de 18h30

Apéro rencontre des Amis du Magasin

« En fouillant dans mes archives j’ai découvert un document que j’avais réalisé pour la Municipalité de Grenoble de l’époque, et dont le titre était : Un grand projet à vocation nationale et internationale à Grenoble pour les arts plastiques et la création contemporaine » 

Ainsi commence un récit d’Hubert Gaillardot qui fut cadre à l’agence d’urbanisme de Grenoble.

Hubert Gaillardot va nous conter une étape méconnue de l’histoire de la création du Centre d’Art contemporain de Grenoble. Il fut un des participants à une réunion, il y a quarante ans (en janvier 1983) à laquelle participaient Jack Lang, ministre de la culture, Hubert Dubedout maire,… et Pierre Gaudibert, directeur du musée de peinture.
À deux mois des élections municipales de 1983, qu’est ce qui s’est discuté ?

Les Amis du Magasin vous convient à une rencontre
Samedi 25 novembre au Magasin
8 esplanade Andry-Farcy Grenoble
de 11h à 13h

Merci de vous inscrire auprès des Amis du Magasin : 
Par téléphone, au 06 29 90 92 19
Par courriel : contact@amisdumagasin.com 

Les Amis du Magasin poursuivront ce premier rendez vous d’autres moments qui ont jalonné l’histoire du Magasin avec la parole d’artistes, de techniciens, des publics du Magasin.
Les rendez vous des samedis apéritifs porteront également sur d’autres sujets avec différents invités.

Amandine Meunier au VOG

Amandine Meunier, artiste plasticienne qui exposait Nomadistan au Vog ce printemps expose de nouveauau Vog les 19, 20 et 21 octobre de 15h à 18h.
Le travail exposé est une partie du travail en résidence de l’artiste.
Les personnes associées au travail de l’artiste ont réalisé des valises.
L’exposition présente ces valises sous forme d’installations avec une bande son réalisé par la conteuse Marie Hélène Gendrin.
Rencontre avec Amandine Meunier samedi  21 octobre 2023 à 16h

VOG : 10 av Aristide Briand, 38600 Fontaine
Tram A arrêt Les Fontainades, le Vog 

Visite des Amis du Magasin à la Demeure du Chaos

Les Amis du Magasin présents le 5 octobre à Saint-Romain-au-Mont d’Or (près de Lyon), étaient enthousiastes après deux heures et demie de visite de la Demeure du Chaos.

Qu’est ce que ce centre d’art contemporain ?

Un extrait de Wikipédia (2022) :

« S’étendant sur 12 000 m², et cernée de caméras de vidéosurveillance, la Demeure du Chaos a l’apparence d’un vaste décor post-apocalyptique, sorte de no man’s land militaire, où se côtoient de nombreuses installations : vestige de météorite, hélicoptère écrasé au sol, carcasses calcinés de voitures, inscriptions géantes peintes sur les murs, les sols et les toits, sculptures menaçantes de ferrailles rouillées, vestiges d’incendies, poutrelles et structures de béton de blockhaus, têtes de mort monumentales dans les arbres….
Cette Demeure du Chaos, initiée dès 1999 par Thierry Ehrmann artiste rassemble et intègre 4 509 œuvres d’art, réalisées par plus de 70 artistes. 
» (elles sont actuellement plus de 6300).

Il revenait à Sydney Ehrmann, fils de Thierry (qui signe ses œuvres 999), d’assurer la visite très complète du lieu. Ce fut un privilège de visiter pour la deuxième fois en 15 ans ce lieu fantastique, ouvert ponctuellement.

Dans l’ouvrage «the fabulous world » le lieu est ainsi nommé :
« Demeure du Chaos, ultra-concentré de notre monde géopolitique dans toute sa complexité, sa multicité, sa duplicité même, mérite de se retrouver compressée, concentrée, centrifugée, centripètée dans une multitude d’images de folles planètes, telles celles du Petit Prince et de ses farfelus voisins ? »

Au cours de la visite nous avons rencontré l’artiste Thomas Foucher réalisant le portrait de Freud.

Le groupe des Amis du Magasin a également eu le plaisir de visiter les entrailles du lieu, siège de l’entreprise Groupe Serveur dont Thierry Ehrmann est président, et de ses filiales, dont Artprice
Thierry Ehrmann nous a fait l’honneur de nous saluer à l’issue de la visite en commentant l’actualité du mot Chaos.
Le chaos c’est le grand reset.
On perd un peu , on gagne beaucoup.
J’aurais réalisé la « demeure du bonheur», il y aurait eu moins de polémiques que celles entourant « la demeure du chaos.

Il a offert et dédicacé à chacun des participants le livre de la Demeure du Chaos, Opus IX, livre collector bilingue (504 pages, 4,2 kg !). On y découvre l’histoire, et toutes les facettes de ce lieux singulier, et beaucoup d’informations jusque-là tenues au parfait secret.

Édouard Schoene

Visite de Moly Sabata, le samedi 23 septembre

La visite aura lieu durant l’exposition « Caca bleu véritable » avec une visite de l’atelier de l’artiste Pierre David, directeur de la résidence Moly Sabata

La visite se fera en plusieurs étapes :

Visite de l’exposition Caca bleu véritable par Camille Théreau.
https://www.moly-sabata.com/productions/caca-bleu-veritable/
Lors de la visite, deux artistes en résidence nous accueilleront : Loïc Donche (partenariat avec L’IAC Villeurbanne pour Galeries Nomades 2023) et Camille Théreau.

Présentation de l’histoire de Moly-Sabata, des artistes qui y ont vécu et travaillé à partir des années 1927, date de l’acquisition par Juliette Roche et Albert Gleizes et la création de la Fondation Albert Gleizes en 1984. Explications sur le fonctionnement d’une résidence d’artistes et les liens tissés aussi bien au niveau local que plus largement, auprès des réseaux de l’art contemporain, des métiers d’art, des arts décoratifs, en Europe et au-delà. Visite de l’atelier d’Anne Dangar (1885-1951) figure emblématique de Moly-Sabata et découverte du fonds de céramiques.

Visite des ateliers des artistes en résidence.

Visite de l’atelier de Pierre David

En visite libre : Ouverture du Moly Shop, boutique de céramique d’usage.

Visite de deux heures suivie d’une goûter.
Participation aux frais (collation) : 8€
Covoiturage possible (se répartir les frais AR d’environ 36 €/ voiture (par A48 D119, 93 km entre Grenoble et Sablons).

S’inscrire au plus vite après de Françoise Viallet : francoise.viallet@free.fr.
Téléphone des Amis du Magasin : 06 29 90 92 19